Tolkien à fleur de carte


J. R. R. Tolkien a laissé une œuvre-monde colossale et minutieuse. Ses cartes ont largement contribué à forger la personnalité de son monde. Mais quelles cartes sont véritablement de lui? Voici quelques exemples des cartes de Tolkien et de celles qui s’en inspirent, heureusement ou malheureusement! Nous remercions Jean-Rodolphe Turlin pour les renseignements sur ces cartes.

(article initialement publié le 5 janvier 2013)


Une réponse à “Tolkien à fleur de carte”

  1. Le « plan » des cartes.
    Les pays imaginaires présentent étrangement une complexité hors du commun. Comme s’il ne suffisait pas de se noyer au quotidien dans un océan réel d insolubilité. De toutes les cartes qui meublent notre univers, qu’elles soit de type Mercator, poly-coniques ou azimutales, c’est toujours avec une grande assiduité qu’il faut les lire pour s’y retrouver, à l’exception d’une seule peut-être, celle qui fournit le plus de satisfaction en toute simplicité, se passant allègrement de l’usage du compas et de la trigo, ouvre des portes, nous transcende parfois en titillant notre imaginaire sur le modèle de la grenouille et du bœuf, s’échange généreusement, permet de facilité le transit et la mobilité, d’indiquer l’accès à la case trésor, d’échapper à la banalité, celle qu’il est inutile de nommer, mais qui s’appelle cependant carte de visite ?
    Tolkien a eu raison de nous laisser la sienne, ressemblant bien à une carte à jouer, nous permettant d’entrer en toute sérénité dans le monde enchanté et tortueux de l’illusion et du fantastique.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.